La démission de Hakim El Karoui de l'ICI ouvre une opportunité à Delanoë. Celle
de nommer un tunisien de France en phase avec la mémoire du berceau de la
culture maghrébine à Paris. Aujourd'hui, Barbès a perdu son ame de quartier
populaire. Les effets de la réhabilitation delanoiste n'a pas fait que des
heureux. Pour preuve, les cafés et les échoppes de musique maghrébine qui ont
disparu les uns après les autres. A visiter les rares maghrébins qui continuent
à maintenir la flamme populaire du quartier il y a crainte à se que l'Insitut
des Cultures d'Islam ressemblerais à se que est devenu le quartier autour de la
mosquée de Paris. Quartier populaire jusqu'aux années soixante avant de voir
disparaitre cabarets orientaux et cafés maghrébins qui ont fait le grand
quartier Latin de l'avant décolonisation. Barbès et la Goutte d'Or avait pour
habituer un des plus grands monologuistes du Maghreb, Mohammed Jarrari. Effacer
la mémoire populaire maghrébine de ce quartier à coup de rénovation, c'est tué
le souvenir de ce tunisois qui a porté dans l'immigration ouvrière les couleurs
des musiques de son pays. C'est grâce à lui, que sous Bourguiba et Ben Ali, on a
pu connaître et écouter les genres musicaux de toutes les régions de son
pays. Dernièrement, le magasin d'un des producteurs de Jarrari, juste à côté du
cinéma Louxor, est devenu une boutique de téléphone portable.
de nommer un tunisien de France en phase avec la mémoire du berceau de la
culture maghrébine à Paris. Aujourd'hui, Barbès a perdu son ame de quartier
populaire. Les effets de la réhabilitation delanoiste n'a pas fait que des
heureux. Pour preuve, les cafés et les échoppes de musique maghrébine qui ont
disparu les uns après les autres. A visiter les rares maghrébins qui continuent
à maintenir la flamme populaire du quartier il y a crainte à se que l'Insitut
des Cultures d'Islam ressemblerais à se que est devenu le quartier autour de la
mosquée de Paris. Quartier populaire jusqu'aux années soixante avant de voir
disparaitre cabarets orientaux et cafés maghrébins qui ont fait le grand
quartier Latin de l'avant décolonisation. Barbès et la Goutte d'Or avait pour
habituer un des plus grands monologuistes du Maghreb, Mohammed Jarrari. Effacer
la mémoire populaire maghrébine de ce quartier à coup de rénovation, c'est tué
le souvenir de ce tunisois qui a porté dans l'immigration ouvrière les couleurs
des musiques de son pays. C'est grâce à lui, que sous Bourguiba et Ben Ali, on a
pu connaître et écouter les genres musicaux de toutes les régions de son
pays. Dernièrement, le magasin d'un des producteurs de Jarrari, juste à côté du
cinéma Louxor, est devenu une boutique de téléphone portable.